Chloé Condamin - Ostéopathe D.O.

Ostéopathe D.O.

Rueil-Malmaison

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Cette rubrique constitue une base de données d’articles que vous pouvez consulter. N’hésitez pas à employer la barre de recherche pour trouver un article précis. Les articles proposés concernent bien sur l’ostéopathie, mais aussi d’autres approches thérapeutiques, tant médicales que paramédicales. Certains articles, plus pratiques, proposent des exercices (par exemple pour soulager un mal de dos ou travailler sur sa respiration), d’autres encore concernent des sujets plus spécifiques (par exemple la grossesse). Bonne visite !

17 juillet 2012 Ostéopathie, acupuncture, hypnose au sein des hôpitaux de Paris

L’assistance publique des hôpitaux de Paris ouvre désormais ses portes aux thérapies alternatives, notamment l’ostéopathie, l’acupuncture et l’hypnose.
Le but de cette démarche est d’une part de permettre une prise en charge plus complète des patients hospitalisés, et d’autre part de lancer des projets de recherche sur ces thérapies encore peu étudiées.

L’AP-HP veut valoriser les médecines alternatives

Une vidéos sur l’arrivée de l’acupuncture en hôpital :

26 juin 2012 Ostéopathie : bon pour les bébés ?

L’émission "les maternelles" du 26/06/12 est consacrée à l’ostéopathie chez les bébés.
De plus en plus de mères ont recours à l’ostéopathie pour soulager les petits maux de leurs bébés (troubles du sommeils, régurgitations, maux de ventre, déformation crânienne...), tandis que de plus en plus d’ostéopathes travaillent en maternité.
Ce reportage vous permettra d’y voir plus clair sur une pratique ostéopathique adaptée au nourrisson.

Ostéopathie : bon pour les bébés ?

25 juin 2012 Dyslexie, dysphasie, dyspraxie

Dyslexie, dysphasie, dyspraxie sont des troubles fréquemment observés chez les enfants. Parfois mal compris diagnostiqués, ils seraient responsables de la moitié des échecs scolaires. Cette émission de "c’est pas sorcier" explique ce que sont ces troubles "dys", et les moyens mis à disposition pour vivre avec.

http://www.pluzz.fr/c-est-pas-sorcier-2012-06-24-10h30.html

11 juin 2012 Reportage sur l’hypnose et ses applications dans le champ de la santé

L’hypnose malgré les nombreuses études scientifiques ayant établis son efficacité et son sérieux, est encore trop mal connue par certains patients qui s’en méfient.
Cela est d’ailleurs bien compréhensible, puisqu’avant les travaux de Milton Erickson au début du XXème siècle, la pratique hypnotique était fondée sur des suggestions, dans lesquelles l’hypnothérapeute proposait directement au patient la solution d’un problème.

L’hypnose Ericksonienne sollicite la participation active du patient. Il s’agit plus d’un état de profonde relaxation, pendant lequel le patient va pouvoir s’exprimer librement. Le thérapeute utilise des métaphores, c’est-à-dire un langage symbolique, pour guider l’inconscient du sujet et l’amener à trouver lui-même les solutions à ses problèmes.

Voici le reportage "une fenêtre sur l’esprit" pour vous éclairer sur l’hypnose et ses applications médicales.

Partie 2 ; Partie 3

8 juin 2012 L’ostéopathie à l’hôpital : entre réticences et bonnes pratiques

Si les freins à une pratique ostéopathique à l’hôpital sont nombreux, un dialogue commence à naître entre le milieu hospitalier et les ostéopathes.

www.hopital.fr/Vos-dossiers-sante/Osteopathie

Plus de quatre Français sur dix affirment avoir déjà consulté un ostéopathe, selon un sondage réalisé par OpinionWay pour le Syndicat de Médecine Manuelle-Ostéopathie de France (SMMOF) en octobre 2010. Si les Français sont de plus en plus nombreux à recourir à cette pratique, leur niveau de connaissances sur le sujet laisse encore à désirer. Ainsi, plus de 9 sondés sur 10 considèrent que l’ostéopathie permet essentiellement de soigner des problèmes de dos et 37 % des personnes interrogées croient que l’ostéopathie est réservée aux adultes. Quant au corps médical, il émet des réserves face à une pratique qui n’est pas, malgré ses résultats, reconnue comme une médecine. Pourtant, les mentalités évoluent et l’ostéopathie fait doucement (mais sûrement ?) son entrée à l’hôpital.